alcool et drogues au volant

De plus en plus de gens adaptent leur comportement et évitent de prendre le volant après avoir consommé de l’alcool. Tout le monde connaît Bob mais la conduite sous l’influence de l’alcool reste un problème réel:

  • L’alcool tue plus de 200 personnes sur la route chaque année
  • Surtout les nuits de week-end.
  • Plus d’un conducteur contrôlé sur 2 à la suite d’un accident est sous l’influence de l’alcool !
  • Ce sont surtout les personnes entre 40 et 54 ans qui conduisent sous l’influence de l’alcool
  • Malgré cela, les jeunes conducteurs sont, plus souvent que les autres tranches d’âge, impliqués dans des accidents graves liés à l’alcool
  • L’alcool au volant accroît le risque d’accident. L’alcool altère les facultés d’observation, allonge le temps de réaction, modifie le comportement et, par conséquent, l’aptitude à la conduite.
  • Pour des quantités d’alcool plus importantes, le risque d’accident augmente de manière exponentielle : selon les statistiques, il est multiplié par 2,7 pour 0,8 ‰ et par plus 22 pour 1,5 ‰ !
  • La gravité des accidents augmente, elle aussi, en fonction de la quantité d’alcool ingérée : le risque d’accident mortel est multiplié par 200 pour les conducteurs dont l’alcoolémie est supérieure à 1,5 ‰.

Plus d’informations ?

Etudes et statistiques sur l’alcool au volant.

Drogues au volant : un phénomène en augmentation

Cannabis, ecstasy, héroïne, cocaïne…, il n’y a pas de drogues inoffensives pour la conduite automobile. Toutes présentent un danger dans la circulation car leur consommation modifie le comportement du conducteur.

  • Aucune drogue n’est sans danger. Toutes les drogues y compris certains médicaments prescrits peuvent produire des effets incompatibles avec la conduite d’un véhicule
  • Quels que soient leurs effets (calmant, euphorique, hallucinogène, etc.), leur consommation a des conséquences sur les capacités de conduite.
  • La combinaison de l’alcool et de drogues est la plus dangereuse : les risques peuvent être multipliés par 100 en cas d’alcoolémie supérieure à 0,8 ‰.
  • Depuis le 1er octobre 2010, notre pays utilise les tests salivaires pour détecter la présence de drogues auprès des conducteurs. Avec cette procédure, le risque d’être contrôlé est nettement plus accru.

Plus d’informations ?

Etudes et statistiques sur la conduite sous l’influence de drogues ou de médicaments.

Source: www.ibsr.be